J'avais rencontrée cette pure salope par minitel. J'étais allé la prendre dans
ma 2002 TII récemment acquise, un poème cette caisse...mais je diverge, c'est là
une autre histoire...Donc nous nous étions donné rendez-vous, je ne sais plus ou,
peut-être bien étais-je allé la chercher chez son copain. Il faisait beau, c'était
un de ces débuts d'après-midi de printemps précoce, tiède, doux, comme Paris sait nous en
offrir. Elle portait une robe légère, moi sans doute un jean et un tee-shirt.
Ayant résolu que, pour le présent d'une ombrelle, je la mènerais en bateau,
nous louâmes donc une petite barque afin, en devisant sagement, d'aller taquiner
l'onde. Tandis que je remplissais mon rôle moteur, dirigé vers l'avant du bateau
ou se tenait ma figure de proue, mes yeux se posèrent naturellement sur son
entrejambe, lequel, cuisses légèrement écartées, me présentait une de ces toisons
a laquelle ma langue aurait bien fait des politesses...Hélas, ainsi au vu et au
su de tout le monde ? cruelle femelle...Nous poursuivîmes donc notre épopée, moi
ne sachant a quels seins me vouer, elle chastement offerte, lubrique et maîtresse
de ses charmes, tous deux unis dans une sphère commençant a nous éloigner du monde
des passants. Me hâtant paresseusement de nous ramener a quai afin de poursuivre
notre périple, je lui pris sa main pour l'aider a revenir sur le quai et la lui
effleurait des lèvres, l'air de deux vieux amis qui se retrouvent. Nous continuâmes
notre promenade tranquillement, avant d'aller nous poser sur un banc. Là, elle se
lova contre moi et nous commençâmes a nous embrasser, par petits baisers timides.
Notre non-intimité nous fit nous relever afin de nous enfoncer au coeur de la
forêt, moi redevenant loup et elle biche, heureusement nous n'ûmes jamais
d'enfant, drôle de bâtard! Je me remémore souvent sa robe relevée, ses seins en
érection sous son chemisier, le plaisir que je lisais dans ses yeux
tout au long du moment ou elle s'empalait a loisir sur ma verge tendue,
tandis que je la chatouillais au moyen d'un brin d'herbe ceuilli
au passage, et que je suçai ensuite.
J'ai oublié de quoi on a bien pu parler ce jour-là